Il faudra prévoir quelques difficultés de circulation aux heures de pointe à partir du 11 septembre aux abords du magasin Leroy-Merlin. Ce 11 septembre, le boulevard Saint-Jean passe à 2x1 voies, le temps d’aménager un nouveau carrefour à feu.
Deux phases de travaux sont programmées d’ici juin 2019.
La première concerne la création d’un premier carrefour à feux au niveau de l’enseigne Leroy Merlin. Le travaux de voirie débuteront ce mardi 11 septembre. Pour s’achever mi-novembre.
Durant le chantier, la circulation sur le boulevard sera maintenue, mais le passage sera réduit des 2 x 2 voies actuelles à 2 x 1 voie.
« Pendant toute la durée des travaux, l’ensemble des services veilleront à limiter au maximum les désagréments, tant au niveau de la circulation que de celui de la desserte de l’ensemble commercial », insiste le maître d’ouvrage, Clermont Auvergne métropole.
Les travaux reprendront en février pour l’aménagement de deux autres carrefours : à hauteur du restaurant Burger King et à l’intersection du boulevard Saint-Jean et de la rue Jules-Verne. Cette seconde phase devrait durer jusqu’au mois de juin 2019, avec les mêmes contraintes de passage à 2 x 1 voie.
Dans les deux cas, il s’agit de remplacer les bretelles routières actuelles et de modifier les accès à l’ensemble commercial. A l’issue, le petit tunnel permettant actuellement l’accès à l’ensemble commercial sera supprimé.
Ces travaux s’inscrivent dans le cadre de l’évolution du quartier Saint-Jean, situé entre l’hypermarché Géant Casino et le CHU Estaing à Clermont-Ferrand.
Sa mutation « compte parmi les grands projets d’aménagement urbain métropolitains à venir », rappelle Clermont Auvergne Métropole.
« L’implantation future d’un lycée professionnel, porté par la Région Auvergne Rhône-Alpes, le long du boulevard, marque le premier acte du processus de régénération urbaine des lieux. La présence de l’établissement implique, en corrélation avec la perspective du nouveau quartier, une évolution des infrastructures routières. »
Le boulevard Saint-Jean est ainsi appelé « à prendre un rôle de desserte de proximité plus important intégrant le développement des déplacements piétonniers, cyclistes et des transports publics, tout en conservant son usage de distributeur des grands sites commerciaux et artisanaux du Brézet ».
Le coût de l’opération est estimé à 1,7 million d’euros TTC.
Source La Montagne