Pour la CGT, la réponse est oui. Ainsi, dix plaintes ont été déposées par des salariés et des ex-salariés contre le groupe basé à Clermont-Ferrand et ont été détaillées à l’occasion d’une conférence de presse jeudi.
Pour le syndicat, les travailleurs sont exposés à des produits toxiques et cancérogènes comme le Nickel, le Cobalt, mais surtout le Chrome 6 dont le taux relevé sur place est largement supérieur aux seuils réglementaires.
Selon Michelin, le problème a été résolu depuis l’été 2018.
L’enquête se poursuit.