Pour ce faire, le budget repose sur trois grands objectifs pour la ville de Clermont-Ferrand : maintenir la dette de la ville sans augmenter l’imposition, valoriser les décisions dans les transitions sociales, écologiques et économiques, et pour finir, apporter une amélioration générale du cadre de vie de la population clermontoise.
Comment sont répartis les 253 millions d’euros du budget annuel ? Ils se divisent en plusieurs sous-parties :
Tout d’abord, 110 millions d'euros proviennent des recettes fiscales issues des impôts, des cotisations, des taxes, etc. Le tout « sans aucune augmentation d’impôts » comme le souligne la ville. Clermont est en dessous de la moyenne nationale en termes de fiscalité par habitant.
Ensuite, 175 millions d’euros vont permettre de fournir un service public de qualité pour la ville. À cela s’ajoute 93,5 millions d'euros pour les dépenses du personnel du service publique afin de répondre aux besoins des habitants. Le budget dépassera donc largement les 253 millions d’euros prévus initialement.
De plus, ce budget permettra d’assurer la transition de Clermont vers la Capitale Européenne de la Culture (CEC), c’est-à-dire, renforcer l’offre culturelle de la ville en investissant dans le patrimoine et les équipements mais aussi assurer une transition énergétique, écologique et sociale.
La construction d’équipements sportifs, l’aménagement de l’espace public avec des pistes cyclables notamment, la rénovation des écoles et l’amélioration des conditions d’enseignement sont au cœur du développement économique et culturel clermontois.