La baie fragilisée, datant de l’époque médiévale, avait déjà connu des dommages lors d’un violent épisode météorologique en avril dernier. Depuis, la partie faisait l’objet d’une attention toute particulière de la part de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC).
11 sapeurs-pompiers et 7 engins ont dû être mobilisés hier soir pour sécuriser les lieux et éviter qu’un pan de l’édifice ne s’écroule sur la voie publique.
À cause de sa fragilité, il est impossible d’apposer un élément de soutien à la structure. Les services de la DRAC, en lien avec les entreprises spécialisées, ont étudié différentes options dont celle de la mise en place d’un blindage de la baie. Les opérations ont débuté dès aujourd’hui.