Ils se sont réunis afin d'identifier des solutions immédiates pour fiabiliser la ligne. Parmi eux, huit parlementaires du Puy-de-Dôme (Nicolas Bonnet, Jean-Marc Boyer, Marion Canalès, André Chassaigne, Eric Gold, Delphine Lingemann, Marianne Maximi, et Christine Pirès-Beaune), ainsi que des élus de la Nièvre et de l’Allier ont collaboré.
Agir face aux dysfonctionnements
Dans un communiqué publié mardi 4 février, ils affirment s’être "rassemblés pour agir" sur ce dossier sensible. La multiplication des incidents graves ces dernières semaines, avec des retards atteignant jusqu’à 12 heures le 3 janvier, et entre 3 et 5 heures les 10, 13 et 17 janvier est au cœur du problème. Le dernier en date, le 31 janvier, avait contraint près de 400 voyageurs à patienter quatre heures supplémentaires avant d’atteindre leur destination.
🚉❌ 12h de retard le 3 janvier, 3 à 5h les 10, 13, 17 et 31 janvier. Trop, c’est trop.
— Marianne Maximi (@MarianneMaximi) February 5, 2025
Avec 13 autres parlementaires, nous engageons un travail transpartisan pour exiger des moyens pour la ligne Clermont-Paris.
Auditions lancées et ministre interpellé : il y a urgence ! pic.twitter.com/BY6AGhOrDV
Pour répondre à cette situation jugée critique, le groupe parlementaire a lancé un cycle d’auditions avec les acteurs concernés (associations d’usagers, syndicats…) et a été reçu le 4 février par le ministre des Transports, Philippe Tabarot. Ils ont pour objectif d’assurer un service plus fiable d’ici à 2027 et de faire avancer le projet de liaison Clermont-Paris en 2h30