L’association ATMO Auvergne-Rhône Alpes, chargée de mesurer la qualité de l’air, s’est associée à l'Observatoire Physique du Globe et Clermont Co pour créer un capteur dernier cri : l’ACSM. Le but : limiter la propagation des particules fines dans l’air. Le capteur mesure la composition chimique des particules fines et analyse les origines des émissions polluantes et ce en temps réel. Installé depuis 2015 tout en haut du Puy-de-Dôme, plus haut volcan d’Auvergne, le capteur a récemment été placé dans une des sept stations qui mesurent la qualité de l’air que possèdent ATMO Auvergne. L’indice ATMO, une initiative du Ministère de l’aménagement du territoire et de l’environnement, a été créé en 1995. Il est aujourd’hui obligatoire pour les agglomérations supérieures à 100 000 habitants.
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Un capteur pour mesurer la pollution de l’air
Après l’épisode de forte pollution de cet hiver, la Région Auvergne-Rhone-Alpes se mobilise.