Victor da Silva a été condamné à 30 ans de réclusion, mercredi 27 septembre 2017, pour le meurtre de sa compagne. L’homme était poursuivi devant les assises du Puy-de-Dôme pour actes de torture ou de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Le 5 juin 2014, les pompiers sont arrivés au domicile de Victor da Silva, 52 ans, à Malintrat dans le Puy-de-Dôme. Ils ont découvert le corps sans vie de sa compagne, âgée de 47 ans. Elle présentait des blessures incompatibles avec un appel pour tentative de suicide par absorption de médicaments.
La femme est décédée des suites d'hémorragies provoquées par des actes sexuels particulièrement violents. Elle avait tenté d'échapper à son compagnon quelques mois auparavant, en portant plainte contre lui.
Les propos tenus à l’audience étaient difficilement soutenables. Ils ont relaté un acte sexuel d’une violence extrême. "Ce qu'il a commis n'a rien avoir avec la sexualité. Ce qu'il a fait, c'est utiliser son sexe comme une arme de destruction, pour lui faire subir les pires violences de l'humanité", avait lancé l'avocat général Eric Camous lors de ses réquisitions avant de demander une peine de 30 ans de réclusion criminelle assortie d’un suivi socio-judiciaire.
Source France 3
Puy-de-Dôme : 30 ans de réclusion criminelle pour violences sexuelles aux Assises
La cour d’assises du Puy-de-Dôme a condamné Victor da Silva, à 30 ans de réclusion criminelle, mercredi 27 septembre. Il était entendu pour actes de torture ou de barbarie ayant entraîné la mort. En 2014, sa compagne n'a pas survécu à des actes sexuels particulièrement violents.